Interview Ophélie Leroux (2023)

Interview

 

 

Bonjour .  Es-tu prête à répondre à notre interview ?

Prête !!

 

- Pourrais-tu, s’il te plait, te présenter pour les lecteurs qui te découvrent ?

Aucun souci. Mon nom est Ophélie Leroux, mais j’ai commencé à publier mes livres sous le pseudo de Nikki Jenkins en 2014. Au début, j’ai décidé de reprendre une fanfiction que j’avais écrite à l’adolescence et d’en faire une saga originale. C’est comme ça que j’ai mis un pied dans le monde de l’édition.

Avec le temps, je me suis orientée vers la romance, même si j’ai d’autres cordes à mon arc.

Je suis aussi quelqu’un qui aime beaucoup les 4 mains. Plusieurs de mes livres ont été écrits avec des amis, amies.

En dehors de l’écriture, je suis maman solo d’un garçon de 9 ans maintenant. Je travaille pour le moment en médiathèque. Je suis une grande lectrice, dans une phase romance MxM pour l’instant.

J’aime passer du temps devant des séries policières, jouer à Just Dance, faire des sorties en famille ou avec mes meilleurs amis. Rien d’exceptionnel ! Je suis comme tout le monde, en vrai.

 

- Peux-tu résumer en quelques phrases ton univers ?

Peu importe le thème de mon roman ou sa classification (fantastique, romance, SF…), ce que j’aime le plus, c’est transmettre des émotions.

Et, d’après mes lecteurs, j’aime aussi tuer mes personnages.

Mais ne vous inquiétez pas, la plupart du temps, mes histoires ont des Happy End.

 

- A travers tes livres as-tu voulu faire passer un message, une envie ?

Pour presque tout mes romans, il y a en effet un message ou une envie.

A livre ouvert insiste sur le fait que la vie est courte et qu’il faut profiter de l’instant présent, car on ne sait pas ce que demain sera fait. Ce livre a fait suite au décès brutal de mon conjoint en 2017.

My enemy, my lover a un peu près le même sujet, traité différemment, mais c’est aussi mon envie de road trip aux Etats-Unis qui est derrière ce texte.

Epouse-moi si tu peux traite de la toxicité familiale et professionnelle et apporte un peu de body positive.

24 pas jusqu’à toi, derrière une romance de noël classique, aborde le sujet de l’image qu’on renvoie pour ce faire accepter des autres.

 

- De qui t’inspires-tu pour tes personnages ?

Physiquement, d’acteur, d’actrice, de mannequin, de chanteur, chanteuse…. C’est une habitude que j’avais en RPG, quand je jouais sur des sagas littéraires comme la confrérie de la dague noire, Dark Hunter….

 

- Le héros de ton dernier roman, aurait-il pu te séduire ? Et pourquoi ?

Oui, comme tout les autres en réalité. C’est un peu le principe de mes héros. Même s’ils ont des défauts, ils ont aussi des failles, des blessures, des qualités qui peuvent me faire fondre.

Derrière son personnage de « Prince » dans la téléréalité du même nom, qui laisse penser qu’Alec n’est qu’un homme à la recherche d’une poupée Barbie, il est en réalité vulnérable, drôle, gentil. Et terriblement sexy.

 

- Quelles sont tes conditions idéales pour écrire ?

J’ai dû apprendre à écrire n’importe où, n’importe quand, mais il est vrai que c’est plus facile quand mon fils est à l’école ou couché et que je peux me concentrer totalement à cette tâche.

 

- Où puises-tu ton inspiration ?

Un peu partout, à vrai dire.

Deux de mes romans, qui ne sont plus édités, me sont venus en rêve.

My enemy, my lover a vu le jour grâce à la chanson If I die young, revenu sur le devant de la scène à la mort de Naya Rivera.

Epouse-moi si tu peux est en premier lieu le défi d’une amie. Et bien sûr, on le voit directement, l’émission de téléréalité Bachelor m’a énormément servi d’inspiration.

A livre ouvert est un livre pansement, qui m’a été inspiré par ma propre expérience.

 

- Quand tu écris, écoutes-tu de la musique, si oui, lesquelles ?

Pour certaines scènes, oui. Quand j’ai besoin d’écrire un passage avec beaucoup d’émotions, j’aime me mettre dans l’ambiance et écouter des chansons tristes.

 

- Quel(le) à auteur(e) t’a inspiré ? Pour écrire hein ! Pas autre choses…

Je crois que c’est Christopher Pike. Même si on écrit pas du tout dans la même catégorie, c’est le premier auteur à m’avoir fait tenir en haleine avec une série de livre quand j’étais plus jeune. Et c’est la première fois où je me suis dit que j’aimerai bien écrire moi aussi.

 

- As-tu encore le temps de lire et quel genre de lectrices es-tu ?

Je lis encore, même si le temps dépend de pleins de facteurs. En ce moment, comme je travaille en médiathèque, j’ai parfois la possibilité de lire sur mon temps de travail.

Je ne dirai pas que je lis de tout, parce qu’il y a des genres qui ne m’attire pas réellement, mais je ne suis pas définitivement fermée non plus. Par exemple, je ne suis pas du tout fan de dark romance, mais en réalité, cela dépend des thèmes abordés et du résumé. Je viens d’ailleurs d’en acheter une.

 

- Si tu devais être un roman, lequel serais-tu et pourquoi ?

Du coup, ce serait l’un des miens, puisque A livre ouvert a littéralement été écrit avec mes sentiments et mes tripes face au deuil de mon conjoint, même si ce n’est pas entièrement autobiographique.

 

- D’autres passions à part l’écriture ?

La danse, même si je n’exerce plus depuis longtemps, sauf en jouant à Just Dance.

 

- Raconte-nous ton plus grand rêve ?

Gagner à l’euromillion ? Faire un road-trip aux Etats-Unis ? Remonter le temps ? Avoir un de mes romans sur une étagère en librairie ?

En vrai, j’ai tellement de rêve, que je ne sais même pas lequel est le plus grand.

 

- Quelle est la question que tu aimerais que l’on te pose ?

Quels sont mes projets en cours ?

 

- Alors, peux-tu nous répondre à cette fameuse question ?

Actuellement, je participe au concours Thriller sur fyctia, avec un texte qui est davantage un romantic suspense : I wish you a merry death. C’est un calendrier de l’avent où les chocolats sont remplacés par un jeu de piste macabre entre un ancien flic et un tueur en série.

J’ai deux textes presque finis :

- Un romantic suspense avec Maritza Jaillet qui est déjà ma co-auteure sur My enemy, my lover : A l’ombre de sa mort.

- Un mélange d’enquête policière, de fantastique, de réécriture de conte et de romance MxM : Meurtres à Raleigh Hill.

Sans compter la réédition de plusieurs textes.

 

- Ton souvenir le plus drôle ? (A quel moment de ta vie as-tu le plus ri) ?

En réalité, je dirai qu’à partir du moment où je suis avec mon meilleur ami, ça se barre en sucette. Mes fous-rires sont principalement avec lui, mais il y en a trop pour me souvenir de tout.

 

- Peux-tu nous donner une photo de toi ? Une photo décente (ou pas).

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- Peux-tu nous dire quelques mots sur ton prochain livre ?

Pour le moment, je n’ai aucune idée du prochain livre qui sortira, alors non.

Je peux tout de même vous dire que d’ici la fin d’année, j’aurai fini trois de mes projets en cours.

 

- Il y a l’auteure mais il y a aussi la personne dans la vie de tous les jours. Veux-tu nous parler d’elle ?

Quoi ? Comment ça, il y a une autre personne ? Ah oui, celle qui adore les séries ados, faire sa curieuse en regardant les livres dans les cartons des collègues, ou encore se poser dans le canapé avec son fils pour un câlin.

 

- Faisons un petit portrait chinois, si tu es d’accord ?

Si tu étais une chanson, tu serais ? Shake it off de Taylor Swift

Si tu étais une fleur, tu serais ? Fleurs de cerisier

Si tu étais un animal, tu serais ? Une louve

Si tu étais un dessert, tu serais ? Gâteau au chocolat

Si tu étais un déguisement d’Halloween, tu serais ? Sorcière

Si tu étais un proverbe / une devise, tu serais ? Un rêve ne peut se réaliser que si nous lui laissons une chance d’exister.

 

- Sur quel(s) site(s) peut-on te suivre ?

Sur Facebook, Instagram, Tiktok et sur mon site internet nikkijjenkins.eklablog.com

 

- Va-t-on pouvoir te rencontrer lors des salons ou festival à venir ?

Pour cette année, ce sera principalement à proximité de ma ville, donc dans l’agglomération rouennaise.

Salon de Pavilly, Salon de Bonsecours et peut-être dans une librairie à Mont Saint Aignan.

 

Un grand MERCI pour m’avoir consacré du temps pour cette interview.

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