Interview Tina Ayme (2018)

Bonjour Tina. Es-tu prête à répondre à notre interview ?

Bonjour ! Oui bien sûr !

 

- Pourrais-tu, s’il te plait, te présenter pour les lecteurs qui te découvrent ?

Je suis Tina Ayme auteure de la saga Les Anges et de la saga You Kill Me. J’écris de la Romance essentiellement, même si j’aime tous les styles.

 

- Peux-tu résumer en quelques phrases ton univers ?

Mes romances (qui sont des sagas de plusieurs tomes jusqu’à présent) sont toujours portées sur des sujets très fort qui ne laisse pas le lecteur indifférent. Comme la violence dans un couple dans Les Anges ou l’abandon de soi et la capacité à pardonner dans You Kill Me. Mes personnages sont toujours très marqués par leurs passés parce que… eh bien…, j’ai un faible pour les personnes brisées par la vie en général. Voilà pourquoi on dit souvent que mes histoires sont « dramatiques ».

 

- A travers tes livres as-tu voulu faire passer un message, une envie ?

Il y a toujours une morale, un message. Les causes qui me tiennent le plus à cœur sont sans doute celles du harcèlement (scolaire, en couplet, etc…) et des femmes violentées et battues. Bien que mes personnages masculins soient justement des mecs à qui je foutrais bien un coup dans les b… dans la vraie vie, je pense qu’ils sont justement ceux qui font que les femmes croient de nouveau en l’amour ou en espère quelque chose en tout cas. Le message commun le plus important que je veux véhiculer et cela dans n’importe lequel de mes livres c’est : il ne faut jamais abandonner.

 

- De qui t’inspires-tu pour tes personnages ?

De tout le monde. De n’importe qui. Austin et Lexie dans leurs caractères à tous les deux sont un peu moi, je suis impulsive et le regrette souvent. Mia est un mélange de toutes mes amies…

 

- Le héros de ton roman, aurait-il pu te séduire ? Et pourquoi ?

J’ai honte de l’avouer, mais sûrement que oui. J’ai toujours eu un faible pour les « mauvais garçons » au tempérament de feu. Alors que j’ai besoin au contraire de quelqu’un plus calme qui sache me tempérer (heureusement que je l’ai trouvé). Mais certains… comme Isaac dans Les Anges ne nous plaisent que dans les livres, en vrai on se demanderait bien s’il n’est pas psychologiquement atteint… et on se garderait bien de l’approcher. Voilà pourquoi c’est génial de lire… rien n’est interdit dans un livre, on y fait ce qu’on veut.

 

- Quelles sont tes conditions idéales pour écrire ?

Du calme, pas de stresse. De la musique aussi.

 

- Où puises-tu ton inspiration ?

Dans la vie de tous les jours, dans une scène en famille, dans mon fils…

 

- Comment t’es-tu retrouvée à écrire ce roman ?

You Kill Me, a été écrit sur la plateforme Wattpad à la base, quand j’ai découvert ce monde d’écriture parallèle. Un chapitre après l’autre, les lectrices me poussant toujours plus, j’ai terminé cette histoire passionnante. Ce fut ma première aventure et je ne le regrette absolument pas.

 

- Quand tu écris, écoutes-tu de la musique, si oui, lesquelles ?

Je me créer des playlists pour chaque livre que j’écris. Mais de manière générale, je suis très pop et soul, et j’aime aussi les vieux rocks.

Mon secret est néanmoins très simple ; avec mon homme j’ai découvert la musique de film, les B.O, etc… c’est devenu mon grand dada. Quand j’écris, seul James Horner, Hans Zimmer et les autres m’accompagnent…

 

- Quel(le) à auteur(e) t’a inspiré ? Pour écrire hein ! Pas autre choses…

Ahah ! Dans l’écriture… pleins ! Anna Todd pour After, juste parce qu’elle l’a fait en ligne et que par ce biais j’ai découvert Wattpad. Mais sinon dans l’exercice de l’écriture lui-même, Anna Gavalda, Marc Levy, Mathias Malzieu et ma grande Paullina Simons bien sûr.

 

- As-tu encore le temps de lire et quel genre de lectrices es-tu ?

Je n’ai pas le temps mais je le prends. D’une main quand je donne à manger à mon fils, de l’autre quand je fais les poussières, etc…

Je suis une lectrice compulsive. J’achète et lis beaucoup, surtout en papier. Au moins deux ou trois livres semaines.

 

- Si tu devais être un roman, lequel serais-tu et pourquoi ?

Tatiana, de Paullina Simons. Parce que l’héroïne porte le même prénom que moi, parce que c’est celui qui m’a fait pleurer comme jamais dans ma vie. Parce que j’ai mis une semaine à m’en remettre tellement j’en ai été malade. C’est la plus belle histoire d’amour que j’ai lu.

 

- D’autres passions à part l’écriture ?

La mode et tout ce qui s’y rapporte. J’en ai fait mes études et mon métier.

 

- Raconte-nous ton plus grand rêve ?

Voir mon livre publier dans plusieurs langue… ce serait… merveilleux…

Même si en publier un est déjà un rêve incroyable en soit.

 

- Quelle est la question que tu aimerais que l’on te pose ?

Penses-tu que les rêves soient réalisables ?

 

- Alors, peux-tu nous répondre à cette fameuse question ?

Oui, il faut y croire et s’en donner les moyens. J’ai appris à croire en mes rêves car jamais je n’aurais pensé réussir à publier un roman et voilà où j’en suis aujourd’hui. Tout est possible !

 

- Ton souvenir le plus drôle ? (A quel moment de ta vie as-tu le plus ri) ?

Je ne sais pas ; le plus… impossible à dire. Ma famille est une vraie bande de clown alors je ris beaucoup à la maison.

 

- Peux-tu nous donner une photo de toi ? Une photo décente (ou pas).

Off Course !

 

- Peux-tu nous dire quelques mots sur ton prochain livre ?

Mon prochain roman est plus encore dans l’émotion que YKM ou Les Anges. Il est très prenant je pense, dans le sens où il n’est quasiment que du point de vue du personnage masculin et qu’il aborde des sujets assez durs comme la dépression, le mal de vivre…

 

- Il y a Tina l’auteure mais il y a aussi Tina dans la vie de tous les jours. Veux-tu nous parler d’elle ?

Non, je tiens à préserver au maximum ma vie privée et ma famille. Ce que je peux dire c’est que la personne que voit les lectrices n’est pas une façade pour vendre des livres. Je suis entière et vraie.

 

- Disons un petit portrait chinois, si tu es d’accord ? Ok

Si tu étais une chanson, tu serais ? Now we are free

Si tu étais une fleur, tu serais ? Une pivoine

Si tu étais un animal, tu serais ? Un chat

Si tu étais un dessert, tu serais ? Une Forêt Noire

Si tu étais un déguisement d’Halloween, tu serais ? Un Ange de la mort bien sûr

Si tu étais un proverbe / une devise, tu serais ? If you can dream it, you can do it !

 

- Va-t-on pouvoir te rencontrer lors des salons ou festival à venir ?

Je ne sais pas encore mais j’espère bien que oui !

 

Un grand MERCI pour m’avoir consacré du temps pour cette interview.

Merci à toi !

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